Ce troisième tome traite de l'Amour, du couple de la féminité.












commander en ligne







Les Druides
tome 3 - Les Druidesses


Claudine Bouchet


EAN 9782373970460
format 153 x 240  450 pages
prix public TTC  24 €
commander en ligne
Le texte
Vous tenez entre vos mains un ouvrage de référence sur les druidesses comme il n’y en a jamais eu auparavant.
Notre ère se voue à la féminité sacrée et au masculin sacré. D’où vient notre force d’aimer ? Du cinquième élément, de l’éther… cette énergie vierge de toute programmation donc vierge de tout calcul car lorsque l’on aime, on ne compte pas. Il s’agit de l’amour avec un grand « A », le plus Grand Secret si bien gardé, depuis la survenue en 1184, d’une initiation sublime tirée du village mystérieux de Perrière-Les-Chênes.
Comment un tel couple sur le Chemin de l’Union Royal peut-il y arriver ?
Tarot… Ta roue de vie… est un chemin druidique de l’immortalité naturelle de l’âme vibratoirement vécue au sein du couple-êtreté, conscient de son hermaphrodisme divin. Depuis le White-in ou l’Intelligence Originelle proviennent les projections de conscience divines qui pénètrent en nous jusqu’aux soleils de notre ADN.
L’intelligence artificielle n’est rien d’autre qu’une fausse déesse, asexuée, dépourvue d’intelligence du cœur. Elle désavoue l’immortalité naturelle en faveur d’une immortalité truquée, « cyborg » donc pervertie. Tout ce que le transhumanisme vous promet, vous pouvez le vivre sans le moindre support technologique. Alors, chers initiables… en route vers le chemin du Saint Amour…
Grande Druidesse Korridwen Bod Koad /|\

L'auteur :
En tant qu’enseignante qualifiée et présidente du collège international d’études celtodruidiques, Claudine Bouchet s’est consacrée à transmettre la sagesse druidique de nos valeureux ancêtres. Passionnée par le druidisme depuis plus de 35 ans et coauteure de nombreux ouvrages sur la tradition celtiquedruidique, elle maintient inlassablement vivante la flamme que nous a léguée Paul Bouchet, notre Passé Grand Druide Bod Koad /|\, qui luimême invoquait une ascendance remontant au XIIe siècle.